«Durant l’automne et l’hiver 2020, le Parc des musées s’est vu truffé de pièges photographiques déclenchés par des capteurs de mouvements. Ces images a priori sans qualité permettent de dresser une cartographie de ce qui bouge et habite ici. Cela implique un déplacement du regard et du rapport au monde: l’humain ne déclenche pas ces images, pas plus qu’il n’en est le sujet.»